05 – 11 Octobre, 2020 | Revue de Presse Maroc

| ,

Jon-S_Flickr

11 Octobre, 2020: En attendant l’aboutissement des essais cliniques, le Maroc appelé à se préparer à l’avance pour assurer la réussite de l’opération de vaccination anti-COVID-19

Le ministre de la Santé, Khalid Aït Taleb, a souligné, vendredi à Rabat, que son département déployait tous les efforts pour assurer un stock suffisant de vaccins anti-Covid-19 pour l’ensemble des Marocains, après l’achèvement des essais cliniques du vaccin et sa mise en vente sur le marché mondial. M. Aït Taleb a relevé, dans une déclaration à la MAP, que le ministère s’attelle à la mise en place d’un ensemble de mesures en vue de généraliser la vaccination anti-Covid-19 sur toutes les régions du Royaume, en attendant que l’efficacité de l’un des vaccins en phases finales des essais cliniques soit prouvée.
Le Maroc est appelé à se préparer à l’avance et à prendre toutes les mesures à même d’assurer la réussite de l’opération de vaccination contre le coronavirus, conformément aux Hautes Orientations Royales relatives à l’adoption d’une stratégie proactive pour lutter contre cette épidémie, a-t-il insisté. À cet égard, il a fait savoir que le ministère de la Santé a organisé jeudi une journée d’études, à laquelle plusieurs cadres du ministère ont pris part, pour s’arrêter sur le degré de préparation du Royaume et sa capacité à mener une éventuelle campagne de vaccination contre le coronavirus, et à élaborer des visions stratégiques pour réussir cette opération sur l’ensemble des provinces et régions du Royaume, au cas où un vaccin, dont l’efficacité venait d’être prouvée, est mis en vente sur le marché mondial.
M. Aït Taleb a, en outre, indiqué que cette rencontre a été tenue en parallèle avec le lancement par le ministère de la campagne de vaccination contre la grippe saisonnière, et qui permettra d’éviter toute confusion entre les cas de grippe et ceux du coronavirus. Dans ce cadre, M. Aït Taleb a fait valoir que cette campagne de vaccination contre la grippe saisonnière concernera toutes les catégories vulnérables et les professionnels de santé, et permettra au ministère de diagnostiquer soigneusement et de prendre en charge les cas de Covid-19. Le ministre de la Santé a également rappelé la signature par son département de deux accords de partenariat et de coopération avec le laboratoire chinois «Sinofarm», visant à associer le Royaume aux essais cliniques de vaccination contre le coronavirus et à lui assurer un stock suffisant de vaccins, en plus d’un mémorandum d’entente pareil avec le groupe «AstraZeneca», à travers la société russe «Ir-Farm».
Pour ce qui est de la capacité du système sanitaire marocain à absorber la hausse remarquable des nombres de cas, le ministre a estimé que «les infrastructures sanitaires et les ressources humaines souffrent, à l’instar des autres pays, d’épuisement suite à la propagation de la pandémie», ajoutant que le système de rotation adopté par le ministère entre les cadres œuvrant dans les services de Covid-19 et des autres services contribue à faire face à cette situation. Il a aussi souligné que les cas critiques en réanimation demeurent la principale source d’inquiétude pour le ministère, notamment avec le manque de cadres de santé en général, notant toutefois que ces cas n’occupent actuellement que 24% de la capacité d’accueil en réanimation à l’échelle nationale (2.800 lits), ce qui en deçà du seuil critique de 65%.

Pour de plus amples informations, veuillez consulter (en Français) le lien suivant.

10 octobre, 2020: La propagation reste à un niveau élevé, 3.443 nouveaux cas samedi 10 octobre

La propagation du Covid-19 s’installe dans les 3.400 cas quotidiens si l’on en croit les chiffres de vendredi et de samedi. Le nombre de cas sévères ou critiques est de 445. 42 nouveaux décès sont signalés.

3.443 nouveaux cas dont la moitié au niveau de la région Casablanca-Settat. 42 nouveaux décès, 445 cas sévères ou critiques dont 41 sous intubation. L’incidence nationale des cas actifs est de 62,3 / 100.000 habitants, ce qui dépasse le niveau d’alerte.

25.131 tests ont été effectués dont 3.443 positifs soit un taux de positivité de 13,7%.

Le nombre total de cas confirmés depuis le 2 mars est de 149.841. Le seuil symbolique de 150.000 sera officiellement dépassé dimanche 11 octobre.

L’incidence cumulée officielle est de 412 cas pour 100.000 habitants.

22.415 cas actifs sont recensés. Le nombre de patients hospitalisés est près de saturer les lits d’hôpital disponibles. Le nombre de guérisons est de 1.832.

Le nombre de décès, 42, est proche des chiffres les plus élevés depuis le début de l’épidémie. Le taux officiel de létalité reste quand même à 1,72%, en légère baisse. Le nombre de cas sévères ou critiques est le 4e le plus élevé depuis le 2 mars: 445 dont 41 intubés.

1.342 nouveaux cas ont été enregistrés dans la seule ville de Casablanca et 1.733 dans la région Casablanca-Settat.

186 cas sont annoncés à Oujda après les 142 enregistrés la veille.

Dans le Souss Massa, Inezgane passe de 534 nouveaux cas la veille à 36 ce samedi.

Pour de plus amples informations, veuillez consulter ( en Français) le lien suivant.

09 Octobre, 2020: Après le confinement, la chasse aux migrants reprend

La période d’allègement du confinement sanitaire au Maroc, en lien avec la pandémie du nouveau coronavirus, a apporté son lot de nouveaux défis socioéconomiques à relever. Ces derniers s’accentuent chez les personnes en situation de vulnérabilité, n’épargnant pas des communautés issues de l’immigration. En plus de s’être confrontées aux difficultés économiques liées à la non-reprise de leurs activités professionnelles, elles connaissent désormais de nouveaux obstacles à leur inclusion au tissu social de leurs villes de résidence.

A ces enjeux s’ajoutent des problématiques sécuritaires, ravivant les tensions sur le traitement de la question migratoire dans les provinces du sud. Représentant local de l’ONG internationale Alarm Phone, Hassan Ammari révèle que les expulsions ont été opérées souvent depuis l’aéroport de Dakhla «en collaboration entre les autorités marocaines et les ambassades sénégalaise et guinéenne», particulièrement entre septembre et le début de ce mois d’octobre.

Laâyoune-Tarfaya, nouvel axe migratoire sous surveillance

Cette tendance a été confirmée à Yabiladi par Omar Naji, vice-président de l’Association marocaine des droits humains (AMDH) à Nador. En effet, il explique que «les récentes évolutions post-confinement de la question migratoire sont marquées surtout par les expulsions des migrants depuis l’aéroport de Dakhla, où des ressortissants de différents pays d’Afrique sont déportés, pour être envoyés principalement vers la Guinée et le Sénégal». «Mais avant cela, il y a eu aussi beaucoup d’arrestations et d’admissions aux centres d’enfermement à Laâyoune, Dakhla, Tarfaya ou encore à Bir Guendouz, comme l’AMDH-Nador l’a relayé sur la base de vidéos filmées à l’intérieur de ces espaces», souligne-t-il.

Le militant a expliqué cette évolution de traitement par le fait que les ressortissants issus des autres pays d’Afrique sont «nombreux à chercher des opportunités de travail dans les régions du sud, notamment dans le secteur de la pêche». Pour lui, «la concentration des migrants dans cette zone a également augmenté car les côtes sud constituent désormais la route principale de départs vers l’Espagne, à travers les îles Canaries, vu que celles du nord sont de plus en plus surveillée». Omar Naji décrit d’ailleurs «quelques départs encore opérés depuis Nador ou Al Hoceïma, mais qui ont considérablement baissé, parallèlement à l’augmentation de leur nombre depuis Tarfaya ou Laâyoune».

Ces observations, selon l’associatif, constituent des «faits nouveaux» dans la région, avec l’ouverture de l’aéroport de Dakhla aux expulsions après arrestation pour tentative de migration. Ces opérations «n’épargnent plus les femmes et les enfants» ce qui constitue également «une nouveauté inquiétante», explique Omar Naji.

Pour sa part, Alarm Phone souligne des expulsions étendues également à «Tanger, Nador, Rabat, Casablanca et Al Hoceïma vers la frontière maroco-algérienne à Tiouli, dans la région de Jerada». Hassan Ammari estime à 157 le nombre de personnes expulsées depuis l’Oriental, entre début juillet et fin septembre. Omar Naji explique que «les autorités ont mis en place des mesures dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire» mais qu’«elles s’en sont servies aussi pour renforcer la présence sécuritaire dans les espaces maritimes, de manière à mieux cerner les flux migratoires».

«Ce renforcement s’inscrit plus globalement dans une démarche qui est valable sur tous les plans, en termes de libertés publiques au Maroc. Nous remarquons une augmentation des arrestations arbitraires et des procès depuis la mise en place des mesures sanitaires, censées limiter la propagation de la pandémie du nouveau coronavirus.»Omar Naji

Dans des centres de rétention dans le sud, «il a été expliqué aux migrants qu’ils devaient rester là-bas pour leurs périodes de confinement sanitaire, mais nombre parmi eux ont dépassé les 14 jours prévus dans ce cadre, sans pouvoir en repartir, jusqu’à leur reconduction à la frontière», relate Omar Naji.

Pour de plus amples informations, veuillez consulter ( en Français) le lien suivant

09 Octobre, 2020: Transport et logistique- les pistes pour sortir de la crise du COVID-19

Un webinaire a été organisé jeudi par la Chambre de commerce britannique sous le thème « Transport et Logistique au Maroc: Impact de la pandémie ».

Plusieurs acteurs publics et privés de premier plan ont livré leurs visions et témoignages. Malgré des pertes d’emplois et fermetures d’entreprises, la crise Covid-19 a mis en lumière les faiblesses du secteur du transport et de la logistique. La loi de finances 2021 et le plan de relance peuvent constituer un point d’appui important à un nouveau départ. La signature d’un nouveau programme et l’ouverture aux nouveaux défis sont un pré requis indispensable à l’émergence d’une nouvelle ère du transport et la logistique au Maroc. Alors que le secteur du transport pèse 6% du PIB et contribue pour 15% aux recettes fiscales de l’Etat. Noureddine DIB, Directeur des Transports Terrestres et de la Logistique au Ministère de l’équipement, du Transport, de la Logistique et de l’Eau a rappelé le défi de la formalisation du secteur. Un défi essentiel “pour avancer”. « Cette crise nous a permis de mieux saisir l’importance de l’informel », a déclaré le responsable ministériel. Ce dernier a relevé que les entreprises du secteur sont fragiles même avant la pandémie, puisqu’il s’agit des microentreprises dont 86% réalisent un chiffre d’affaires inférieur à 3 millions de dirhams par an avec une part importante de l’informel. « Au vu de la non conformité de plusieurs employeurs à la règlementation sociale, il y a beaucoup d’employés non déclarés à la CNSS, qui ont été incapables de bénéficier des mesures de soutien instaurées par le gouvernement en faveur des secteurs touchés », a-t-il déploré.

Pour de plus amples informations, veuillez consulter (en Français) le lien suivant.

08 Octobre, 2020: L’état d’urgence sanitaire prolongé jusqu’au 10 novembre prochain à cause de la pandémie COVID-19

Le Conseil du gouvernement, réuni jeudi à Rabat, a décidé la prorogation de l’état d’urgence sanitaire jusqu’au 10 novembre prochain, et ce dans le cadre des efforts déployés en vue de lutter contre la propagation de COVID-19.

Le Conseil a adopté le projet de décret N°2.20.631 portant prolongation de la période de validité de l’état d’urgence sanitaire sur l’ensemble du territoire national pour faire face au Covid-19, a indiqué, M. Saaid Amzazi, porte-parole du gouvernement, dans un communiqué lu lors d’un point de presse à l’issue de la réunion hebdomadaire du conseil réuni sous la présidence du chef du gouvernement Saad Dine El Otmani.

Présenté par le ministre délégué auprès du ministre de l’Intérieur, ce projet de décret, qui prolonge l’état d’urgence sanitaire du samedi 10 octobre à 18h00 jusqu’au mardi 10 novembre à 18h00, renseigne sur le souci des autorités publiques de garantir l’efficacité et l’efficience des mesures prises contre la propagation de Covid-19, tout en veillant à l’adéquation des dispositions prises au niveau de chaque région, préfecture ou province, avec l’évolution de la situation épidémique, a-t-il expliqué.

En vertu de ce projet de décret, l’autorité gouvernementale chargée de l’Intérieur est habilitée à prendre, à la lumière de la situation épidémique, toutes les mesures adéquates à l’échelle nationale, a ajouté M. Amzazi, faisant savoir que les walis des régions et les gouverneurs des préfectures et des provinces sont en mesure de prendre toutes les mesures exécutives nécessaires au niveau d’une préfecture, province, commune ou plus, et ce pour maintenir l’ordre public sanitaire.

Citant le Chef du gouvernement dans une allocation lors de cette réunion, le porte-parole a indiqué que la prolongation de l’état d’urgence sanitaire est dictée par la situation épidémique « inquiétante » non seulement dans le Royaume, mais de par le monde, relevant que l’humanité est toujours aux prises avec cette épidémie et elle est affectée ces dernières semaines par sa propagation rapide. Les informations en provenance de divers pays, en particulier ceux du voisinage, montrent qu’il y a une recrudescence quotidienne des cas.

M. El Otmani a également mis l’accent sur la nécessité de prendre des mesures collectives de précaution dans toutes les régions où surgissent de grands clusters ou l’on enregistre une augmentation selon les critères fixés par les autorités sanitaires et vis-à-vis desquelles des décisions sont prises avec les autorités sécuritaires et territoriales soit en durcissant les mesures ou en interdisant certaines activités au niveau des quartiers, des communes et des villes.

Pour de plus amples informations, veuillez consulter (en Français) le lien suivant.

08 Octobre, 2020: Coronavirus au Maroc-zoom sur les personnes les plus exposées

Le Maroc compte plus de 4 millions de seniors. Au-delà des problèmes de pauvreté dans certains cas, du risque d’isolement et d’éventuelles discriminations, ils sont aussi particulièrement vulnérables sur le plan de la santé.

Plus une personne est âgée, plus le risque de contracter une forme sévère de Covid-19 augmente. Au-delà des problèmes de pauvreté dans certains cas, du risque d’isolement et d’éventuelles discriminations, les seniors sont aussi particulièrement vulnérables sur le plan de la santé. Résultat, ces derniers ont payé le plus lourd tribut dans la crise liée au nouveau coronavirus. C’est ce qui explique, en partie, le taux de mortalité très élevé dans les pays dits vieux. Le Maroc, bien que ne faisant pas partie de cette catégorie, n’échappe pas totalement à cette triste réalité. En effet, il existe dans le royaume un groupe à risque de plus de 2,5 millions de Marocains à surveiller de très près, estime le Haut-commissariat au Plan (HCP) dans une note rendue publique à l’occasion de la récente célébration de la Journée internationale des personnes âgées, marquée par la crise sanitaire de la Covid-19. «L’effectif des personnes âgées s’élève actuellement à près de 4,1 millions habitants. Elles se caractérisent souvent, en plus de l’âge, par d’autres types de fragilités telles qu’une immunité réduite ou la présence de maladies chroniques, avec une prévalence dépassant les 63% chez cette catégorie de la population, soit 2,57 millions de personnes», accentue le HCP ajoutant que «pour ces raisons, elles comptent parmi la population la plus à risque de développer une forme grave d’infection à la Covid-19».

Les seniors, grands oubliés de la COVID-19
Et pourtant, il apparaît clairement qu’ils font partie des grands oubliés de la pandémie. Si le gouvernement a pris une série de mesures dans le but de limiter la propagation du virus et protéger ainsi la santé des populations, le constat est que les personnes âgées de plus de 65 ans ont été durement impactées, comme le confirme la même source. «Afin de limiter la propagation de ce virus, l’État a pris différentes mesures dont l’instauration du confinement sanitaire. Celui-ci a fortement impacté l’accès aux services de santé pour les personnes âgées.» Ainsi, dans le détail, parmi les 38,2% de personnes âgées souffrant de maladies chroniques ayant nécessité un examen médical pendant le confinement sanitaire, 44% n’ont pas eu accès à ces services. Ce pourcentage atteint 36,7% en cas des maladies passagères. En plus des difficultés financières et de l’insuffisance des moyens de transport, la raison principale du non-accès aux services de soins est d’abord la crainte de contamination. À tous ces maux, il faut ajouter les risques liés à la détresse psychologique. Car, «les personnes âgées, qui continuent à suivre des règles similaires à celles recommandées pendant la période du confinement, en particulier le respect de la distanciation sociale, seront menacées par la survenue de troubles psychologiques tels l’anxiété, les troubles de l’humeur, voire les confusions», poursuit l’organisme chargé de la production, de l’analyse et de la publication des statistiques officielles au Maroc. Ce dernier craint que le risque d’apparition de ces manifestations augmente avec la durée d’isolement, mais aussi avec d’autres facteurs, comme les conditions de logement, la perte de revenus, l’absence d’information ou encore l’ennui. Selon l’enquête du HCP, les principales conséquences de cette situation pour les personnes âgées sont l’anxiété (43,4%), la peur (37,6%), les comportements obsessionnels (23,8%) et le trouble du sommeil (20,1%).

Les hommes plus exposés que les femmes
Par ailleurs, si le HCP n’a pas étudié la question du genre et la Covid-19, il est établi que les hommes ont plus de risques d’être touchés par le coronavirus que les femmes, comme le confirme une étude parue dans la revue Nature. D’après cette étude, la réponse immunitaire au virus varie selon qu’on soit une femme ou un homme, et celle-ci serait plus faible pour ces derniers. Les auteurs de ce travail affirment qu’au fur et mesure que les hommes prennent de l’âge, ils perdent leur capacité à stimuler des leucocytes, des cellules T jouant un grand rôle dans l’immunité du corps. Chez les femmes, en revanche, et même celles qui sont très âgées, la réponse immunitaire était assez bonne, soulignent les chercheurs, expliquant que ce phénomène est que le corps des femmes est habitué à lutter contre les agents pathogènes pouvant menacer un potentiel, comme un enfant à naître ou un nouveau-né.

Pour de plus amples informations, veuillez consulter (en Français) le lien suivant.

06 Octobre, 2020:  Les transferts d’argent des MRE vers le Maroc se maintiennent

Les volumes des transferts d’argent effectués par les MRE vers le Royaume se sont maintenus à des niveaux importants en pleine crise du COVID-19.

Cette évolution pour le moins imprévisible, défie la logique et les calculs de probabilité. Les envois des MRE dépendent de deux principaux facteurs structurels à savoir la croissance économique mondiale et l’évolution de la population des MRE. Or dans ce cas de figure, ces deux facteurs ne peuvent expliquer la résistance des transferts de la diaspora marocaine face à la crise.

Pour de plus amples informations, veuillez consulter (en Français) le lien suivant.

05 Octobre, 2020: La Covid-19 perturbe les services de santé mentale dans la plupart des pays

La pandémie de Covid-19 a perturbé ou interrompu les services de santé mentale essentiels dans 93% des pays du monde, selon une nouvelle enquête, publiée lundi à Genève, par l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

Réalisée en prévision de la Journée mondiale de la santé mentale, célébrée le 10 octobre, l’enquête menée dans 130 pays fournit les premières données mondiales montrant l’impact dévastateur du COVID-19 sur l’accès aux services de santé mentale et souligne le besoin urgent d’augmenter le financement sur cette question.

L’OMS, qui rappelle “le sous-financement chronique de la santé mentale”, note qu’avant la pandémie les pays consacraient moins de 2% de leur budget national de la santé à la santé mentale.

Pour de plus amples informations, veuillez consulter (en Français) le lien suivant.

05 Octobre, 2020: Diffusion des cours sur les chaînes TV nationales à partir de ce lundi

Les cours programmés au titre de l’année scolaire 2020-2021 seront diffusés sur les chaînes de télévision nationales à partir de ce lundi pour les trois filières d’enseignement, a annoncé le ministère de l’Éducation nationale, de la Formation professionnelle, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique.

Ainsi, les leçons relatives aux programmes scolaires 2020-2021 seront diffusées sur les chaînes TV Athaqafia, Tamazight et Laâyoune, à partir de lundi jusqu’à samedi pour les trois filières d’enseignement.

La chaîne Athaqafia diffusera des cours scolaires aux élèves de l’enseignement secondaire qualifiant, toutes filières confondues, et ce à compter de 08H00 jusqu’à minuit.

La chaîne Tamazight va diffuser des cours dédiés aux niveaux de l’enseignement secondaire collégial entre 08H00 et 12H30, tandis que les cours programmés sur la chaîne Laâyoune s’adresseront aux élèves de l’enseignement primaire ainsi que des cours du préscolaire et des activités de la vie scolaire et de l’éducation physique (entre 08H00 et 18H00).

Le planning des cours et la grille détaillée des programmes de chaque chaîne sont disponibles sur le site officiel du ministère www.men.gov.ma et sur sa page officielle sur les réseaux sociaux.

Ces cours en vidéo sont aussi accessibles sur la plateforme électronique « TelmidTICE ».

Cette opération intervient après l’achèvement de l’étape d’évaluation-diagnostic, de révision et de consolidation qui s’est déroulée du 10 septembre au 03 octobre en vue notamment de consacrer les acquis des élèves au cours de l’année scolaire précédente.

Pour de plus amples informations, veuillez consulter (en Français) le lien suivant.