14 – 20 Septembre , 2020 | Revue de Presse Algérie

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Septembre 20, 2020: Les conaminations toujours à la baisse au bilan de 20 septembre

le bilen les conaminations au coronavirus enregistré au cours les dernières 24 heures une nouvelle baisse en ce vendredi 19 septembre. le comité de suivi de l’évolution de le pandémie de covid-19 a noté 203 nouveaux sujets infectés.

le bilen les conaminations au covid-19 en algérie poursuit sa baisse depuis les semaines, le porte-parole de comité en charge de suivi de l’évolution de le pandémie de coronavirus dans notre pays djamel fourar, a fait état de pas moins de 203 cas de conaminations au covid-19 lors les dernières 2 heures.

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Septembre 19, 2020: La fermeture des frontières en Algérie a-t-elle protégé le pays de la crise ?

La tendance habituelle du membre du Comité scientifique de suivi de l’évolution du coronavirus en Algérie, Dr Bekkat Berkani, pour la prudence a été encore une fois au rendez-vous dans une nouvelle sortie médiatique, où le médecin a expliqué que la fermeture des frontières nationales nous a été salutaire, en nous évitant une crise sanitaire d’envergure.

Si l’on se fie au membre du Comité scientifique, également premier responsable de l’Ordre des médecins en Algérie, Dr Bekkat Berkani, la fermeture de nos frontières a constitué le socle de notre protection contre la pandémie du coronavirus, en empêchant l’avènement d’une crise sanitaire beaucoup plus importante. Le médecin nous a présenté cette mesure restrictive comme étant une décision salvatrice.

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Septembre 19, 2020: Marché des assurances -Le chiffre d’affaires en baisse de plus de 12% au 1er semestre 2020

Le Secrétariat Permanent du Conseil National des Assurances (CNA) vient de publier la Note de Conjoncture du marché national des assurances pour le premier semestre 2020 (et deuxième trimestre de l’année), portant les chiffres provisoires de la production et des sinistres du marché national des assurances de dommages, des assurances de personnes, ainsi que de la réassurance.

Selon la note de conjoncture, le marché des assurances, toutes activités confondues, enregistre, au 30 juin 2020, un montant de plus 71 milliards de DA contre 81,2 milliards de DA, à la même période de 2019, soit une régression de 12,5%.

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Septembre 18, 2020: des sociétés d’assurance font un don à la PCH

Cinq sociétés d’assurances relevant du secteur public ont fait jeudi à Alger un don de consommables médicaux à la Pharmacie centrale des hôpitaux (PCH) lors d’une cérémonie de signature d’une convention de solidarité dans le cadre de la lutte contre la propagation du nouveau coronavirus (Covid-19).

La convention a été signée par la directrice de la PCH, Dr. Fatima Wakti et les Pdg de cinq (05) sociétés publiques d’assurances en présence du ministre de la Santé, de la population et de la réforme hospitalière, Abderrahmane Benbouzid. Il s’agit de la Compagnie algérienne des assurances (CAAT), la Compagnie algérienne d’assurance et de réassurance (CAAR), la société Cash assurances relevant de la Sonatrach, la Caisse nationale de Mutualité Agricole (CNMA) et la Compagnie centrale de réassurance (CCR).

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Septembre 17, 2020 : Le point sur la pandémie dans le monde, Trump promet un vaccin dès octobre

Plus de 936.000 morts : La pandémie provoquée par le nouveau coronavirus a fait plus de 936.000 morts dans le monde depuis fin décembre, selon un bilan établi par l’AFP à partir de sources officielles mercredi à 11h00 GMT. Plus de 29,6 millions de cas de contamination ont été diagnostiqués. Les Etats-Unis sont le pays le plus endeuillé avec 196.661 morts, suivis par le Brésil (134.106), l’Inde (82.066), le Mexique (71.678) et le Royaume-Uni (41.664).

Donald Trump a affirmé mercredi que les Etats-Unis disposeraient à partir d’octobre d’un vaccin contre le Covid-19 largement distribué dans la population, malgré les avis contraires des experts sanitaires et les attaques de son adversaire Joe Biden qui le juge « disqualifié » pour gérer la pandémie. 

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Septembre 17, 2020 : Benbouzid – « La situation sanitaire en Algérie est stable »

Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Abderrahmane Benbouzid, a confirmé, ce jeudi 17 septembre 2020, que la situation sanitaire en Algérie en raison de l’épidémie du coronavirus est stable, après avoir connu une augmentation du nombre de cas infectés il y a quelques semaines.

Répondant aux questions des députés de l’Assemblée populaire nationale (APN) qui a repris ses travaux aujourd’hui en séance plénière, notamment sur la pénurie de spécialistes en obstétrique et gynécologie dans le secteur public, le ministre explique cette situation de pénurie par le fait que la plupart des médecins ont tendance à aller vers le secteur privé, soulignant que cette situation est considérée comme un problème national

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16 Septembre, 2020 : la très lente décrue se poursuit en Algérie

La très lente décrue de l’épidémie de coronavirus se poursuit en Algérie. Ces dernières 24 heures, 232 nouveaux cas positifs de Covid-19 ont été enregistrés, en recul de six cas par rapport au bilan quotidien publié hier mardi, a indiqué le ministère de la Santé ce mercredi 16 septembre. C’est le bilan quotidien le plus bas depuis le 25 juin (+197 cas).

Si les nouvelles contaminations poursuivent lentement leur baisse, ce n’est pas le cas du nombre quotidien de décès du COVID-19, qui a légèrement augmenté ces dernières 24 heures, en passant de 12 à 13 morts. Au total, 1643 personnes ont été tuées par le nouveau coronavirus depuis l’annonce du premier décès du Covid-19 le 12 mars dernier en Algérie.

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16 Septembre, 2020: Y aura-t-il une deuxième vague ? Un expert explique

Alors que l’Algérie enregistre une baisse continue des contaminations depuis quelques semaines, la question d’une éventuelle deuxième vague du Coronavirus et la hausse des contaminations est hypothétique, estime un professionnel de la santé.

En effet c’est ce qu’a indiqué le chef de service des maladies infectieuses de l’EPH de Boufarik, le docteur Mohamed Yousfi; cité par le média Algérie 360 dans son édition de ce 16 septembre. « Les hypothèses concernant une éventuelle deuxième vague de la pandémie du Coronavirus, et l’explosion de la courbe épidémiologique, notamment la hausse du nombre de contagions et de décès en Algérie, demeurent de simples suppositions »; a-t-il avancé. 

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15 Septembre, 2020: Réouverture des frontières de l’Algérie – « C’est une question très compliquée »

Le Dr Abdelkrim Touahria est membre du comité scientifique en charge du suivi de l’épidémie de coronavirus en Algérie. Dans cet entretien, il parle de la rentrée scolaire dont la date n’a pas été fixée, de la réouverture des frontières, de la baisse des cas de contaminations…

Le Premier ministre a déclaré, dimanche 13 septembre, que la date de la rentrée scolaire dépendait de l’avis du comité scientifique de surveillance de l’épidémie du COVID-19. La situation épidémiologique permet-elle d’envisager une reprise de l’école?

La situation épidémiologique permet-elle d’envisager une reprise de l’école?

Dr Abdelkrim Touahria : Écoutez, le risque zéro n’existe pas. Maintenant, au sein du comité, il nous a été donné d’accompagner certains secteurs dans la reprise de leurs activités, notamment en mettant en place des protocoles sanitaires. En tant que comité scientifique, cela ne va pas dire que si on a un protocole sanitaire, ça y est on peut reprendre, non. Le risque zéro n’existe pas. Après au comité, nous pouvons mettre en place des protocoles sanitaires à tous les secteurs d’activité. Et les accompagner. Mais il reste que ce ne sont que des recommandations, et la décision n’est pas du ressort du comité scientifique, que ce soit pour la reprise de l’école ou des autres activités.

Mais quelle lecture faites-vous de la déclaration du Premier ministre à propos de la date de la rentrée scolaire ?  

La lecture qu’on peut en faire c’est qu’à tout moment on peut s’attendre à une reprise de l’épidémie du coronavirus. Comme c’est le cas actuellement dans certains pays d’Europe (France) et du Maghreb où il y a une recrudescence des contaminations. Le risque existe aussi en Algérie. Et sachant que ce type de décision est très difficile à prendre, les autorités doivent s’appuyer sur l’avis et les recommandations du comité scientifique. De la même façon, le comité scientifique ne prend pas de décisions, mais il peut à la demande du secteur l’accompagner dans l’élaboration d’un protocole sanitaire. Nous n’allons pas auprès d’un secteur donné pour dire voilà comment vous allez faire pour reprendre. D’ailleurs, depuis que la situation épidémiologique commence à être stabilisée, on a reçu divers secteurs pour les accompagner dans la reprise et notamment le secteur de l’éducation afin de l’accompagner dans le déroulement des examens du BEM et Baccalauréat. Au total, il est question d’une trentaine de protocoles sanitaires englobant tous les secteurs. Il convient de préciser que chaque protocole sanitaire est spécifique à un secteur donné selon que c’est un secteur où l’on travaille à l’air libre ou confinés dans des salles et des bureaux… Si vous voulez le draft (brouillon) du protocole nous est donné par le secteur concerné et nous au comité on apporte des corrections et on valide.

Pr Touahria, la question se pose aussi pour la réouverture des frontières que beaucoup de gens attendent avec impatience. Quel est votre avis sur cette question ?    

Cette question est pertinente parce qu’elle relève du ressort exclusif des hautes autorités de l’État. Il y a en effet beaucoup de paramètres qui entrent dans cette question de réouverture des frontières. Il y a la situation dans les autres pays, cela ne dépend pas uniquement de la situation épidémiologique en Algérie. À partir du moment où il y a des gens qui partent et d’autres qui rentrent, la situation peut devenir un peu moins maîtrisable. Même si vous faites des points de contrôle sanitaire aux frontières, ça reste très compliqué. Ensuite, il y a lieu de demander un test PCR dès lors que le seul diagnostic de certitude c’est la PCR. Ça n’a absolument aucun sens de demander un test sérologique.  Dès lors, quand quelqu’un arrive ou quitte le territoire national, avons-nous les capacités de faire des tests RT-PCR pour tous les voyageurs ? En outre, peut-on faire confiance à quelqu’un qui rentre dans le territoire algérien muni d’un test PCR négatif ? Franchement c’est une question très compliquée et je pense que les hautes autorités vont certainement nous demander notre avis.

À ce propos justement, les autorités ne vous ont toujours pas sollicités sur cette question ?   

Nous n’avons pas été sollicités pour le moment sur cette question. Maintenant, en tant que membres du comité scientifique nous n’avons pas la prérogative de dire aux autorités voilà vous pouvez ouvrir les frontières, nous avons le protocole. Et si un jour l’éventualité de la réouverture des frontières est mise sur la table, il est clair que le comité scientifique validera le protocole qu’il faut…

Quelle est votre lecture de la situation épidémiologique en Algérie ?   

Tout d’abord il faut dire que le virus existe encore, il est là et il circule. On enregistre effectivement une courbe descendante. Les indicateurs sont au vert et nous incitent à l’optimisme dans la mesure où les structures de santé ne sont plus saturées et ne subissent pas de pression comme cela a été le cas avant. Le second indicateur concerne les malades graves en réanimation qui ne sont pas nombreux comme en avril,  juin et en juillet. De la même façon, le nombre de cas de façon générale commence à diminuer. Sachant que comparativement à une certaine période où l’on testait moins et on avait plus de cas, aujourd’hui on teste plus et on enregistre moins de cas. Rappelez-vous qu’au mois d’avril dernier on ne disposait que de 4 centres de dépistages et actuellement on en est à 30 centres entre les antennes de l’Institut Pasteur d’Algérie (IPA), il y a les centres des dépistages des hôpitaux et même des universités. Mais le risque est encore là. Nous ne sommes pas à l’abri d’une recrudescence. Le respect des mesures barrières doit être de mise.

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14 septembre, 2020: Le marché de l’automobile et de l’immobilier chutent

En l’espace de six (06) mois, la pandémie du COVID-19 a provoqué un recul de 30% au niveau de l’activité commerciale, d’ailleurs le marché de l’automobile ainsi que celui de l’immobilier ont enregistré une régression sans précédent.

Ceci en raison de l’absence de la demande; a-t-il expliqué. Évoquant au passage la crise du marché de l’automobile; Bensdira a pointé du doigt l’absence de véhicules neufs. « Malgré la publication du cahier de charges régissant les conditions d’importation ; jusqu’à présent aucun concessionnaire n’a obtenu l’autorisation d’activité »; a signalé le même responsable.

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