31 Août – 05 Septembre 2020 | Revue de presse Maroc

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05 Septembre, 2020: L’OMS recommande l’utilisation des stéroïdes pour les cas graves

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a recommandé des médicaments stéroïdiens pour traiter les cas graves de coronavirus après que des études aient montré que les stéroïdes pouvaient réduire d’environ un tiers le risque de décès des patients hospitalisés sous respirateur.

De nouvelles études confirment que plusieurs types de stéroïdes améliorent la survie des patients atteints de COVID-19 gravement malades, renforçant ainsi les médicaments bon marché en tant que norme de soins. Dans ce sens, l’OMS a recommandé cette pratique.

« Nous recommandons les corticostéroïdes systémiques pour le traitement des patients atteints de formes sévères ou critiques de la COVID-19 », précise l’OMS dans un communiqué publié le 2 septembre.

« Nous suggérons de ne pas utiliser de corticostéroïdes dans le traitement des patients atteints de formes non sévère car le traitement n’apporterait aucun bénéfice et pourrait même s’avérer nocif. Le traitement doit être sous la supervision d’un clinicien », ajoute la même source.

Les médecins pensent que cette nouvelle étude pourrait changer la donne dans la lutte contre le coronavirus car les stéroïdes sont largement disponibles et assez bon marché. Les médicaments sont souvent prescrits pour aider à réduire l’inflammation et à soulager la douleur.

En juin, une vaste étude menée par l’Université d’Oxford a révélé qu’un stéroïde appelé dexaméthasone réduisait les décès de jusqu’à 35% chez les patients hospitalisés COVID-19 qui avaient besoin d’un traitement avec des appareils respiratoires et de 20% chez ceux qui n’avaient besoin que d’oxygène supplémentaire.

Les résultats ont immédiatement changé les soins et ont incité de nombreuses autres études qui testaient des stéroïdes à cesser, afin que davantage de personnes puissent recevoir le médicament.

La nouvelle analyse a examiné les résultats de six de ces études qui ont été arrêtées prématurément et des patients graves dans l’étude d’Oxford pour voir si tous les types de stéroïdes étaient également efficaces, et a conclu qu’ils le sont.

Il y a eu 222 décès parmi les 678 patients ayant reçu un stéroïde et 425 décès parmi les 1025 patients recevant des placebos ou juste des soins habituels.

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05 Septembre, 2020: Visiteurs professionnels étrangers au Maroc: une simple invitation de l’entreprise suffit

Après avoir reçu de nombreuses demandes d’autorisation d’accès au Maroc à des prestataires, consultants et techniciens étrangers à transmettre au Ministère des Affaires Étrangères, de la Coopération Africaine et des Marocains Résidant à l’Étranger, la CGEM a sollicité le ministère précité pour mettre en place, à cet effet, une procédure unique et simplifiée.

«J’ai le plaisir de vous informer que la demande de la CGEM a été approuvée par M. le ministre Nasser BOURITA que je tiens à remercier chaleureusement pour sa grande réactivité», félicite Chakib Alj, président de la CGEM.

Ainsi, à partir du 10 septembre 2020, les visiteurs professionnels étrangers pourront se déplacer chez les entreprises marocaines sur simple invitation de ces dernières. Les invitations doivent être imprimées sur du papier à en-tête de l’entreprise qui invite (comprenant ses identifiants, notamment son ICE, son n° de RC et son adresse).

Elles doivent également être signées et cachetées par une personne habilitée de l’entreprise, et inclure l’objet de la visite, les noms complets et numéros de passeports des visiteurs, leur date d’entrée au territoire marocain ainsi que leur lieu de résidence pendant leur séjour au Maroc.

«Les visiteurs étrangers doivent bien évidemment se conformer aux règles sanitaires édictées par les autorités, notamment l’obligation d’effectuer préalablement les tests requis de dépistage du COVID-19 », souligne Alj.

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04 Septembre, 2020: L’Espagne pointée du doigt pour son accueil des migrants à Melilla

La Commissaire aux droits de l’Homme du Conseil de l’Europe a exhorté jeudi l’Espagne à mieux prendre en charge les centaines de migrants accueillis dans des arènes de l’enclave espagnole de Melilla, en pleine pandémie de COVID-19. Dunja Mijatovic a estimé que les droits de l’Homme y étaient difficilement applicables dans de telles conditions.

Le Conseil de l’Europe hausse le ton envers l’Espagne sur sa gestion des migrants en pleine pandémie de coronavirus. Dans une lettre envoyée jeudi 3 septembre au gouvernement espagnol, la Commissaire aux droits de l’Homme exhorte Madrid à mieux prendre en charge les quelque 500 migrants accueillis dans des arènes de l’enclave espagnole de Melilla, dans le nord du Maroc. Ces personnes sont hébergées dans cette enceinte depuis le prolongement du confinement du seul centre d’accueil de Melilla où s’entasse déjà des centaines d’exilés.

Selon Dunja Mijatovic, ces arènes ne sont pas conçues « pour recevoir sur le long terme des migrants ou des demandeurs d’asile ». Ces derniers n’y auraient en effet « qu’un accès limité aux douches et aux toilettes » et manqueraient de « nourriture et produits d’hygiène », alerte la Commissaire, qui signale que la « surpopulation » rend compliqué « le respect des mesures de distanciation physique imposées » par le COVID-19.

Dunja Mijatovic s’inquiète également de la situation sécuritaire et rapporte « des bagarres, des vols ainsi que des allégations d’usage excessif de la force » visant le personnel de sécurité.

Si la Commissaire se dit « consciente » du défi qui consiste à accueillir de nouveaux migrants en pleine pandémie, elle insiste cependant sur le respect des droits de l’Homme, difficilement applicables dans de telles conditions. Madrid doit ainsi « trouver des alternatives pour accueillir les migrants, y compris les demandeurs d’asile », et leur garantir un accès aux procédure de demande d’asile, insiste Dunja Mijatovic.

Les autorités espagnoles se sont défendues dans une lettre de réponse, signée de la main du ministre de l’Intérieur, Fernando Grande-Marlaska Gomez. « Dans le contexte actuel de crise sanitaire », l’Espagne a « adopté des moyens extraordinaires pour répondre à une conjoncture qui évolue rapidement » et maintient comme « objectif » le « respect de la protection de la santé et la sécurité des personnes », a expliqué le ministre.

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04 Septembre, 2020: Le ministère de la Santé met à jour le «protocole COVID-19» et réduit la période de convalescence

Le ministère de la Santé a mis à jour le protocole de soins des personnes atteintes de coronavirus, dans le but de réduire le temps du traitement et d’alléger ainsi les structures de santé trop sollicitées à des fins d’offrir de meilleures conditions de soins de santé aux autres malades.

Les consignes sont claires et appellent les responsables concernés à respecter leur application. C’est ainsi que les cas symptomatiques bénins seront suivis à domicile, l’identification des cas suspects reposant sur l’observation des symptômes et signes d’infection au niveau du système respiratoire, tels que toux, maux de gorge et difficultés respiratoires, que ces symptômes s’accompagnent ou non de fièvre.

Pour les cas probables, le traitement commencera après examen clinique et sans attendre le résultat du test PCR. Toute personne ayant une température de plus de 38 degrés sera incluse dans la catégorie des cas suspects sauf si la température élevée est causée par d’autres raisons de santé évidentes, ou non accompagnée de douleurs musculaires ou de maux de tête. Le protocole classe également parmi les cas suspects, les personnes qui souffrent d’une infection respiratoire aiguë nécessitant une hospitalisation.

Ce faisant, font partie des cas probables, selon la nouvelle mise à jour du protocole de traitement pour la gestion des cas «COVID-19» de la Direction de l’épidémiologie et de lutte contre les maladies au sein du ministère de la Santé tous ceux ayant eu contact avec une personne probable ou positive à la COVID-19, en lien avec un foyer infectieux identifié, un professionnel de santé exerçant dans une structure hospitalière ou un laboratoire chargé des analyses médicales et du dépistage de la pandémie. Il y va de soi que toute personne présentant brutalement un des deux signes cliniques la perte de l’odorat ou du goût fera partie de la catégorie des cas possibles ou plausibles.

Le ministère de la Santé a également inclus parmi les cas possibles d’infection par le Coronavirus, des personnes décédées sans cause apparente si le décès était consécutif à un essoufflement et que le défunt s’était mêlé à une autre personne possible ou confirmée avec le virus.

Le département d’Ait Taleb a appelé les directeurs des centres hospitaliers universitaires à soigner le plus rapidement possible les éventuels cas infectés par le virus, sans attendre la confirmation virologique pour les cas probables, et sans attendre le résultat du test «PCR» pour les contacts avec des maladies.

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04 Septembre, 2020: Le Maroc «manifeste un intérêt pour le vaccin russe»

L’ambassadeur de Russie au Maroc, Valerian Vladimirovitch Shuvaev, a déclaré jeudi que des importateurs marocains étaient intéressés par l’acquisition du vaccin russe, développé pour endiguer la pandémie du nouveau coronavirus.

Dans un entretien avec l’agence de presse russe Sputnik, Valerian Vladimirovitch Shuvaev a confirmé en effet que des partenaires marocains avaient «manifesté leur intérêt pour la proposition de leur fournir le premier vaccin contre la COVID19 au monde, créé par des scientifiques russes».

Cité par la même source, il a indiqué que le Maroc effectuait ses propres recherches scientifiques, mais montrait sa volonté de dialoguer et de coopérer avec tous les partenaires étrangers.

Valerian Vladimirovitch Shuvaev a souligné que son pays avait soumis une proposition concernant sa volonté d’établir une base de production et, à l’avenir, de mener des recherches conjointes et des essais cliniques concernant ce vaccin.

L’ambassadeur russe affirme aussi que Moscou a sollicité «tous les pays du monde, y compris le Maroc». «Nous partons du fait que notre proposition recevra un retour positif, car il existe des opportunités allant dans ce sens», a-t-il déclaré.

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03 Septembre, 2020: production à grande échelle du test de dépistage 100% marocain

Conçu et fabriqué au Maroc par la startup Moldiag créée par la Fondation MAScIR, le kit de diagnostic du Sars-CoV2/COVID-19 a reçu une première commande de 100.000 unités du ministère de la Santé.

Après avoir obtenu, courant mai 2020, les validations nationale et internationale de son kit diagnostic du Sars-CoV2/COVID-19, le défi majeur de Moldiag, startup filiale de la Fondation MAScIR, centre de recherche et de développement, a été de lancer en urgence son unité de production industrielle. C’est dans cette logique que Moldiag a accéléré son équipement en matériels et en instrumentations nécessaires pour une production à grande échelle comme elle a achevé le 30 juin 2020, à titre d’essai, la production en laboratoire de 10.000 tests de diagnostic du Sars-CoV2/COVID-19, qui ont été livrés aux autorités publiques.

Avec le certificat d’enregistrement du produit, délivré par le ministère de la Santé le 21 juillet 2020, Moldiag peut désormais produire et commercialiser son kit avec une capacité de production de 1 million de tests de diagnostic par mois. A ce jour, la startup a bénéficié de la confiance du ministère de la Santé avec une première commande de 100.000 tests.

Quant à la disponibilité sur le marché du Kit MAScIR du Sars-CoV2/COVID-19, des discussions sont en cours avec de potentiels distributeurs locaux. Cette innovation nationale va ainsi permettre de mettre à disposition des laboratoires marocains un kit de diagnostic à prix compétitif qui permettra d’augmenter la capacité de dépistage indispensable depuis la recrudescence des cas de coronavirus au Maroc.

Pour rappel, ce test 100% marocain a été soumis à une série de processus de validation dans des centres biologiques et virologiques de référence, au niveau national et international, qui ont permis d’en attester l’efficacité et la fiabilité. À l’issue de ces essais, ce test a obtenu la validation de laboratoires agréés nationaux et étrangers, notamment des Forces Armées Royales, de la Gendarmerie Royale ainsi que de l’Institut Pasteur de Paris, le plaçant ainsi au même niveau que les tests utilisés à l’échelle internationale.

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02 Septembre 2020, la déclaration quotidienne sur le COVID-19 ne sera plus diffusée

Le ministère de la Santé a annoncé qu’il compte désormais adopter une nouvelle stratégie de communication concernant l’évolution de la situation épidémiologique au Maroc.

De ce fait, la déclaration hebdomadaire sur ladide évolution sera purement et simplement annulée, selon un communiqué du département de Khalid Ait Taleb, publié ce mercredi 2 septembre. Ainsi, à partir de ce jeudi 3 septembre, précise-t-on, un communiqué, en langues arabe et française, sera à la disposition des médias nationaux et ce, quotidiennement à 18h, faisant état de l’évolution de la situation épidémiologique.

Le ministère de la Santé souligne également que la déclaration hebdomadaire sera désormais remplacée par un communiqué de presse bi-mensuel. Cependant, le portail officiel du ministère continuera quotidiennement à informer l’opinion publique sur la pandémie du nouveau coronavirus, selon le communiqué précité.

Le ministère n’a pas manqué, dans ce contexte, d’exhorter les citoyens à se conformer aux règles d’hygiène et de sécurité sanitaire, et à s’engager en faveur des mesures de prévention édictées par les autorités avec un sens de patriotisme et de responsabilité.

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01 Septembre 2020: L’antidote contre COVID-19 ne devrait pas dépasser 3 dollars la dose au Maroc

Comme nous vous l’annoncions hier, le vaccin contre le COVID-19 n’est pas pour demain. Mais en attendant une issue heureuse à cette course folle menée, tambour battant, par des centaines de scientifiques aux quatre coins de la planète, il y a de quoi se réjouir : Le Maroc fera partie des pays qui bénéficieront du vaccin à raison de 3$ maximum la dose. Alors que 1.191 nouveaux cas de contamination au coronavirus, 30 décès (1.141) et 1.240 guérisons ont été enregistrés dans le pays lundi (18h) en 24h, portant le total de cas confirmés à 62.590 cas, un vaccin à un prix aussi abordable représente une lueur d’espoir. La première depuis bien longtemps. En vrai, depuis le monde d’avant. Car entre-temps, les motifs de satisfaction ont été aussi rares qu’une tempête de neige en été. Mais à quoi doit-on une telle bonne nouvelle ? La réponse tient en cinq lettres : COVAX.


Covax est le futur dispositif d’accès mondial au vaccin contre le nouveau coronavirus. Ce programme dont l’objet est de garantir un accès équitable à ce vaccin a été exposé au grand jour par l’Organisation mondiale de la santé. «Jusqu’à présent, 172 pays sont engagés dans le programme Covax, service mondial pour les vaccins, qui dispose du portefeuille de vaccins anti-COVID-19 le plus important et le plus diversifié au monde», a récemment révélé Tedros Adhanom Ghebreyesus, le directeur général de l’OMS. Etant considéré par l’Organisation onusienne comme faisant partie des pays et territoires à revenu intermédiaire de la tranche inférieure, le Maroc, aux côtés de l’Algérie, de la Tunisie, ou encore de la Cisjordanie et de Gaza, entre autres, remplit les conditions pour bénéficier du système de garantie de marché (AMC) du Covax, une sorte de cerbère sanitaire co-dirigé par l’alliance « Gavi » pour les vaccins, l’OMS et la Coalition pour les innovations en matière de préparation aux épidémies. Une fois que les vaccins seront développés, le Covax aura donc la lourde tâche d’en garantir un accès équitable sur toute la planète, après qu’ils soient développés et autorisés pour utilisation, en sécurisant l’approvisionnement de 2 milliards de doses dans les pays qui ont misé sur ce dispositif.

Au moment où on écrit ces lignes, plusieurs vaccins sont en lice «neuf vaccins font partie de ce portefeuille dynamique, qui est constamment révisé et optimisé pour garantir l’accès à la meilleure gamme de produits possibles», a précisé le boss de l’OMS. Puis d’ajouter : «Des discussions sont déjà en cours avec quatre autres producteurs». En sus, le COVAX offre la latitude aux pays de se procurer des doses supplémentaires du vaccin à condition qu’une telle action soit jugée nécessaire.

Dans ce cadre, un accord signé il y a quelques mois entre l’Alliance Gavi, la CEPI et AstraZeneca, un groupe pharmaceutique né de la fusion en avril 1999 du suédois Astra et de l’anglais Zeneca, promet 300 millions de doses supplémentaires du vaccin candidat. Enfin si ce dernier est retenu par ledit mécanisme. En tout cas, une chose est sûre : afin justement de remplir ses objectifs, le déploiement du vaccin, et notamment les doses supplémentaires sera tributaire d’une évaluation de la vulnérabilité de chaque pays au virus. Pour participer au mécanisme du Covax, chaque pays devait envoyer une manifestation d’intérêt avant le 31 août. Autrement dit, maintenant, c’est trop tard. Pour les pays qui ont envoyé leur manifestation d’intérêt à temps, comme le Maroc, la confirmation de leur adhésion devrait avoir lieu le 18 septembre.

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01 septembre, 2020: Les pharmaciens alertent sur la rupture des stocks des traitements de COVID-19

Après avoir déploré la publication des noms de médicaments inclus au traitement du nouveau coronavirus au Maroc, ce qui a provoqué une ruée vers les officines, les pharmaciens ont mis en garde contre le risque de rupture des stocks. L’Association nationale des pharmaciens du Maroc a alerté que les achats massifs pourraient impacter la disponibilité de ces traitements, destinés en importante partie aux personnes atteintes de maladies chroniques.

Citée par 2m.ma, l’organisation professionnelle a exprimé sa préoccupation quant à la pénurie de ces traitements sur le marché, dans un courrier adressé au ministre de la Santé, Khalid Aït Taleb. Dans sa lettre, elle lance un appel aux sociétés de distribution de produits pharmaceutiques pour qu’elles remplacent les médicaments concernés par des traitements identiques. Elle demande également la publication d’une circulaire afin d’autoriser les pharmacies à remplacer les médicaments en question.

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31 Août, 2020: La BEI débloque plus de 1 milliard de DH pour le Maroc

La Banque européenne d’investissement (BEI) vient de débloquer une enveloppe de 100 millions d’euros (1,1 milliard de DH) pour financer les besoins les plus urgents du Maroc pour faire face à la pandémie du COVID19. Il s’agit d’une première tranche de 100 millions d’euros débloquée de façon urgente pour soutenir les efforts du Maroc contre la crise du virus COVID-19, sur un financement total de 200 millions d’euros, indique un communiqué conjoint du ministère des Finances et de la BEI.

L’enveloppe permettra d’assurer le financement en matière d’équipements et de matériels médicaux et de renforcer les capacités sanitaires et hospitalières dans l’objectif de lutter plus efficacement contre la pandémie. Il s’agit du premier financement de la BEI dans le voisinage méditerranéen de l’UE dans le cadre de la lutte contre le COVID-19.

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