30 Mars – 05 Avril, 2020 | Revue de presse

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Photo: John S. on Flickr

30 Mars, 2020: Maroc – voici ce que proposent les banques pour aider les ménages

 Les mesures prises par les banques dans le cadre du Comité de veille économique (CVE) pour le soutien et l’appui aux ménages et aux entreprises directement frappés de plein fouet par le coronavirus, entrent dans sa phase opérationnelle ce lundi 30 mars 2020. Ces mesures consistent en un report, sur demande, des échéances des crédits amortissables et de leasing jusqu’au 30 juin 2020 sans frais ni pénalités de retard pour les ménages et les entreprises directement impactés par le COVID-19 et la mise en place de lignes de crédit additionnelles de fonctionnement pour les entreprises impactées par ce virus, indique le Groupement professionnel des banques du Maroc (GPBM) dans un communiqué.

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31 Mars, 2020: Trois personnes arrêtées à Essaouira pour diffusion de Fake news sur la situation épidémiologique au Maroc

Dans le cadre des recherches et investigations visant à suivre et à lutter contre les faux contenus numériques liés à l’épidémie du nouveau coronavirus (COVID-19), la brigade de la police judiciaire de la ville d’Essaouira a procédé, lundi, en coordination avec les services de la Direction générale de la Surveillance du territoire (DGST), à l’arrestation de trois personnes, âgées de 32 à 44 ans, pour leur implication présumée dans la diffusion, via les réseaux sociaux, d’informations fallacieuses sur la situation épidémiologique au Maroc. Les services de la sûreté nationale d’Essaouira avaient constaté l’échange entre les mis en cause d’un ensemble de séquences audio contenant des allégations mensongères sur la contamination de dizaines de personnes par le nouveau coronavirus (COVID-19) et prétendant que ces personnes ont été contaminées par le seul cas enregistré dans la ville, indique un communiqué de la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN), notant qu’une enquête judiciaire a été ouverte et des expertises techniques minutieuses ont été menées permettant l’identification des personnes impliquées dans l’enregistrement et la diffusion de ces contenus numériques fallacieux.

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31 Mars, 2020: Tanger Med, 170 camping-cars français autorisés à quitter le Maroc

Après plusieurs jours d’attente, 170 camping-cars touristiques français ont été rapatriés hier soir du port de Tanger Med. Depuis le 13 mars dernier, ils n’ont en effet pas pu regagner leur pays, les frontières ayant été fermées, dans le cadre des mesures pour endiguer la propagation du nouveau coronavirus. Ces véhicules comptent au total près de 350 voyageurs, stationnés depuis des jours entre Tanger et Ceuta, selon une source portuaire citée par l’agence de presse EFE. Avec leurs camping-cars, ils ont été évacués sur un ferry espagnol à destination de Sète.

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31 Mars, 2020: En incluant les CHU, le Maroc opte pour le dépistage massif

Avec la décision d’inclure les CHU au dispositif des centres de dépistage du COVID-19 qui ne comprenait jusqu’ici que trois laboratoires, le Maroc se dirige de plus en plus vers la voie du dépistage massif, à l’instar de certains pays, comme la Corée du Sud, précurseur en la matière et exemple à suivre selon nombre de spécialistes. Le dépistage massif semble être la voie que prend le Maroc, afin d’endiguer la pandémie du COVID-19. En plus d’avoir effectué des commandes de kits de dépistage à deux fournisseurs sud-coréens, le royaume devrait dorénavant avoir recours au réseau des CHU (Centres hospitaliers universitaires) pour dépister le nouveau coronavirus. Ce qui ne peut qu’impacter le nombre de tests réalisés.

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31 Mars, 2020: Le Haut tribunal Rabbinique au Maroc appelle au respect des mesures préventives contre le coronavirus

Le Haut tribunal Rabbinique du Royaume du Maroc a appelé la communauté juive mondiale à respecter les règles et les mesures préventives prises par chacun des pays dans lesquels elle se trouve en vue d’endiguer la propagation du coronavirus. « Faire preuve de sagesse en se soumettant aux décisions nationales prises face à cette pandémie mondiale est nécessaire et fondamental pour contenir la propagation du virus », souligne le Rabbin Yoshiyahu Yosef Pinto, président du haut tribunal Rabbinique, dans un communiqué.

Le Rabbin Yoshiyahu Yosef Pinto juge indispensable de ne pas céder à la psychose, de faire preuve de civisme et de rester vigilant durant ces périodes de distanciation sociale et de confinement, estimant important de rester bienveillant envers autrui tout en respectant les règles du confinement, pour notre sécurité à tous. Il a également loué les Hautes Instructions Royales qui permettront de « mener à bien cette crise sanitaire sans précédent et de préserver le peuple marocain si cher ».

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01 Avril, 2020: Le cofondateur du Journal hebdomadaire, Fadel Iraki n’est plus

Homme d’affaires et co-fondateur du magazine Le Journal hebdomadaire, Fadel Iraki s’est éteint ce mercredi des suites d’une longue maladie. Principal actionnaire de cette publication éditée entre 1997 et 2010, il aura marqué l’âge d’or de la presse indépendante au Maroc. Fils de magistrat, Fadel Iraki a investi dans la presse et le secteur des arts. En 2019, il a notamment racheté de la Fondation Pierre Bergé-Yves Saint-Laurent la prestigieuses Librairie des Colonnes à Tanger. Son décès met en deuil ses anciens collaborateurs et la presse marocaine, dont les professionnels ont multiplié les hommages au défunt depuis cette mi-journée.

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01 Avril, 2020: Au Maroc, un confinement difficile dans les quartiers pauvres et surpeuplés

Dans le cadre du confinement obligatoire imposé par les autorités marocaines face au nouveau coronavirus, Abdellah devrait passer ses journées avec sa femme et ses enfants dans « une chambre et une cuisine où le soleil n’entre pas ». Mais il préfère rester dans la rue. « L’isolement sanitaire est nécessaire. Mais, c’est impossible de rester à la maison toute la journée! », assure ce marchand ambulant de 49 ans, père de trois enfants de 9 à 13 ans, privé d’activité depuis les restrictions instaurées le 20 mars dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire au Maroc.

Le confinement est largement respecté à travers le pays, mais dans quelques quartiers populaires, comme celui de Takadoum où réside Abdellah, l’un des plus denses de la capitale Rabat, beaucoup peinent à rester chez eux. Ici, les maisons font deux à quatre étages, ont des fenêtres minuscules et bordent d’étroites ruelles. Les habitants qui respectent les consignes de confinement se collent contre leurs fenêtres grillagées pour tuer le temps, tandis que les autres traînent dehors.

Des enfants jouent, des petits groupes de jeunes discutent, parfois assis sur les pas de portes. Parmi eux, Soufiane, 32 ans, qui bavarde avec un ami. Il partage un appartement de deux pièces avec ses parents et ses cinq frères et soeurs. « C’est surpeuplé et c’est difficile de supporter ça », confie-t-il, se disant néanmoins « conscient de la gravité de la maladie et de l’intérêt de se mettre en quarantaine ». Alors qu’il vendait des habits sur un marché voisin, il se retrouve désoeuvré, obligé de rester dans un périmètre délimité par la préfecture et ceinturé de barrages de sécurité chargés de vérifier les permis de circuler.

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01 Avril, 2020: Lancement d’une opération onusienne au Maroc

Le bureau pays du Fonds des Nations Unies pour la Population (FNUAP) lance l’opération SALAMA, en étroite collaboration avec les partenaires institutionnels et la société civile, pour agir auprès des populations les plus vulnérables, et ce en appui à la réponse du gouvernement marocain à la pandémie du Coronavirus (COVID-19).

Ainsi, le FNUAP et ses partenaires vont mettre des “Salama Kits” pour l’hygiène et la prévention du COVID-19, à disposition des populations en situation de vulnérabilité en milieux, a indiqué l’agence onusienne dans un communiqué, précisant que la première phase de cette action concerna les femmes enceintes et les professionnels de santé, en particulier les sages-femmes, alors que la deuxième phase vise les femmes victimes et survivantes à la violence, des migrant-es, des détenus, en particulier les femmes enceintes, des personnes en situation de handicap et des personnes âgées, dans plusieurs régions du Maroc.

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01 Avril, 2020: Le report des activités des centres d’enregistrement pour les étrangers prolongé

La Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN) porte à la connaissance de tous les citoyennes et citoyens, ainsi qu’aux étrangers résidant légalement au Maroc, qu’elle a procédé à la prolongation, jusqu’à nouvel ordre, du report des activités au sein des centres d’enregistrement des données identitaires et des services de contrôle des étrangers, entré en vigueur le mercredi 18 mars.

Cette décision provisoire et exceptionnelle, comme précédemment annoncée, consiste en l’arrêt des services d’accueil des requérants souhaitant renouveler ou demander pour la première fois leur carte d’identité nationale électronique et concerne également les étrangers et les résidents souhaitant renouveler ou prolonger leurs titres de séjour ou la validité du récépissé de ce document, indique la DGSN dans un communiqué.

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01 Avril, 2020: Insolites, des immigrés clandestins déboursent 60.000 dirhams pour rentrer au Maroc

Pour fuir le coronavirus qui sévit en Espagne, une centaine de jeunes immigrés marocains ont fait la traversée en sens inverse, vers le Maroc, à bord de deux bateaux pneumatiques. Chacun d’entre eux a versé 60.000 dirhams aux passeurs.

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02 Avril, 2020: Le CNDH lance un appel pour soutenir toutes les catégories vulnérables.

Le Conseil national des droits de l’Homme (CNDH) a appelé à l’extension des mesures prises afin de prévenir la propagation du coronavirus en soutien à toutes les catégories vulnérables, notamment les personnes en situation de handicap, les enfants, les femmes, les migrants, les réfugiés et les personnes âgées.

Lors de la réunion périodique ordinaire du CNDH tenue mercredi par visioconférence, pour discuter des dispositions prises par le Conseil dans le cadre du présent état d’urgence sanitaire, en vue de poursuivre ses missions relatives au monitoring, à la protection et à la promotion des droits de l’Homme, conformément à la législation nationale et aux pactes internationaux, il a été convenu de mettre en place un groupe de travail spécialisé pour le suivi et le monitoring de la situation des droits de l’Homme aux niveaux national et régional, selon un communiqué de cette institution.

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03 Avril, 2020: Reportage, le SOS des MRE bloqués au Maroc

Environ 1.300 Marocains résidant dans des pays européens souhaitent que le gouvernement marocain leur permette de quitter le territoire national pour rejoindre leurs familles et postes de travail dans leurs pays d’accueil.

Mohamed Amine Zoubairi n’est pas au bout de ses peines. Depuis que la décision des autorités marocaines de fermer les frontières aériennes, maritimes et terrestres est tombée, ce Marocain résidant en Espagne ne se détache plus de son téléphone. Pétitions sur les réseaux sociaux, coups de fils à des représentations consulaires ou diplomatiques, il est sur tous les fronts. Mohamed Amine fait partie de ces quelques 1.300 Marocains installés dans un pays européen, contraints de rester au Maroc à cause de la fermeture des frontières. « Je venais d’arriver à Tétouan, ma ville natale où je me suis rendu pour visiter ma mère. Je travaille dans le secteur du tourisme et pensais qu’avant l’effervescence de la saison estivale, le moment serait propice, je voulais être auprès de ma mère car je ne pourrais plus me libérer une fois que la saison aura démarré », nous explique-t-il.Or, la pandémie du COVID-19 en a décidé autrement ! Quand il a appris la nouvelle de la fermeture des frontières, Mohamed Amine n’en a pas cru ses oreilles. « Je pensais que c’était une fake news », raconte-t-il. Il effectue des appels et entreprend des démarches pour tenter de quitter le territoire et rentrer auprès de sa famille. D’autant plus que les nouvelles de l’autre côté du Détroit n’étaient pas rassurantes. « L’Espagne venait de décréter l’état d’alerte. Ma femme, désespérée, ne savait plus comment affronter seule et avec un enfant à charge, cette situation », affirme-t-il.

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03 Avril, 2020: Frontières maritimes, entrée en vigueur et réserves espagnoles

Le dossier du domaine maritime refait de nouveau surface. Les lois complémentaires délimitant les eaux territoriales marocaines et sa zone économique exclusive viennent d’être publiées au Bulletin officiel. Les lois n° 37.17 modifiant et complétant le dahir portant loi n° 1.73.211 du 2 mars 1973 fixant la limite des eaux territoriales et n° 38.17 modifiant et complétant la loi n° 1.81 instituant une zone économique exclusive de 200 miles marins sont ainsi officiellement entrées en vigueur, ce qui a suscité de nouveau des réserves espagnoles. Si la procédure suit son cours normal au Maroc, côté espagnol la publication au Bulletin officiel est une nouvelle occasion pour certaines parties espagnoles de montrer des réactions plutôt hostiles envers le Maroc. Le gouvernement régional des îles Canaries vient ainsi de demander il y a quelques heures plus de « fermeté » à l’égard du Maroc de la part du palais de la ‘Moncloa’ à Madrid, siège officiel de la présidence du gouvernement central espagnol.

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03 Avril, 2020: Beaucoup de subsahariens ont du mal à payer leur loyer

Au-delà de ces employés régulièrement déclarés auprès de la CNSS, il y a un nombre sans doute beaucoup plus important de travailleurs indépendants ou dans l’informel qui sont impactés. C’est dans ce cadre que figure la très nombreuse communauté subsaharienne au Maroc. Certains migrants, venus par exemple du Sénégal, du Mali, de la Côte d’Ivoire ou encore du Nigeria, ne sont plus capables d’honorer leurs engagements financiers vis-à-vis de leurs bailleurs. « On nous a appelés à plusieurs reprises pour intercéder auprès des bailleurs en faveur de nos compatriotes, dont beaucoup sont locataires », explique Nafy Ngom, la vice-présidente de l’Association des ressortissants sénégalais résidant au Maroc (ARSEREM). Le problème se pose donc avec acuité, d’autant que certains sont « aussi bien locataire d’un local commercial que d’un appartement », précise-t-elle.

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03 Avril, 2020: Propos racistes sur LCI, le Club des avocats du Maroc va porter plainte

Au Maroc, cette séquence n’est pas passée inaperçue. Le Club des avocats au Maroc a décidé de porter plainte pour diffamation raciale auprès du Procureur de la République Française. La plainte sera déposée par Me Mourad Elajouti et Me Saïd Maâch, avocats au Barreau de Casablanca, a indiqué le Club.

Au cours d’une discussion voulue scientifique sur LCI, deux médecins de renommée discutaient des études en cours autour d’un vaccin au COVID-19, notamment sur la piste du vaccin BCG. Un échange posé jusqu’à ce que Jean-Paul Mira, chef de service à l’hôpital Cochin de Paris, a eu l’idée de suggérer au directeur de recherche de l’Inserm, Camille Cocht, de réaliser des tests de vaccins contre le Coronavirus en Afrique.

« Si je peux être provocateur, est-ce qu’on ne devrait pas faire cette étude en Afrique, où il n’y a pas de masques, pas de traitement, pas de réanimation… Un peu comme c’est fait d’ailleurs pour certains études dans le SIDA, où chez les prostituées, on essaie des choses parce qu’on sait qu’elles sont hautement exposées ». Ce à quoi Camille Cocht réponds: « vous avez raison, on est d’ailleurs en train de réfléchir à une étude en parallèle en Afrique ».

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04 Avril, 2020: Rapatriement des dépouilles refusé par le Maroc, les MRE d’Europe en colère

Malgré la mise sous scellée de leurs cercueils pour un transport drastiquement réglementé, les chibanis morts outre-Méditerranée, voient s’évaporer leur dernière volonté de reposer en terre natale. L’annonce de la prise en charge de certaines inhumations dans les carrés musulmans ne suffit pas à calmer la colère d’acteurs associatifs. Vendredi, le ministère délégué chargé des Marocains résidant à l’étranger (MRE) a annoncé prendre en charge les frais d’obsèques des défunts ne disposant pas d’une assurance obsèque musulmane dans leurs pays de résidence. Au vu des circonstances liées à la pandémie de coronavirus, le gouvernement marocain prend en effet cette initiative, face à « l’incapacité de rapatrier les dépouilles des Marocains décédés à l’étranger pour inhumation au Maroc ».

Par ailleurs, des promesses ont été faites pour veiller à mettre en œuvre la nouvelle mesure, « en coordination avec les familles des personnes décédées selon des critères et des formalités spécifiques ». Dans un communiqué à ce sujet, le ministère rappelle que cette « conjoncture particulière » exige « que chacun fasse preuve d’esprit de citoyenneté, de responsabilité, de solidarité et de compréhension ». Bien que tardive, cette mesure vise à soulager le dilemne de nombreuses familles marocaines à travers le monde. Mais elle ne convainc toujours pas nombre de Marocains en Europe, qui voient la volonté de leurs aïeux défunts compromise. D’autant plus que de nombreuses démarches avaient été entreprises au niveau consulaire, qui se soldent finalement par une annonce générale, qui coupe court à toute tentative de concertation sur les modalités de rapatriement.

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05 Avril, 2020: À Tan-Tan, 21 migrants secourus et 2 cadavres repêchés

Les équipes du service de sûreté et de sauvetage des vies humaines du port de Tan-Tan ont porté secours, vendredi 3 avril, à 21 candidats à l’immigration clandestine, dont 4 femmes, et repêché les cadavres de deux personnes, tous originaires de pays de l’Afrique subsaharienne. Ces individus se trouvaient à bord d’un canot pneumatique à environ 27 milles marins du port de Tan-Tan, apprend-on auprès des autorités locales. D’après la même source, l’une des deux femmes décédées sur ce bateau était enceinte. À leur arrivée au port de Tan-Tan, les 21 rescapés ont subi des tests médicaux pour s’assurer qu’ils ne présentent pas de symptômes du coronavirus. Ces individus ont ensuite été transférés à l’hôpital Hassan II pour le suivi de leur état de santé.

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05 Avril, 2020: Grâce royale au profit de 5.654 détenus

Le Roi Mohammed VI a accordé sa grâce au profit de 5.654 détenus et ordonné de prendre toutes les mesures nécessaires pour renforcer la protection des détenus au sein des établissements pénitentiaires, particulièrement contre la propagation de l’épidémie du coronavirus, a annoncé le ministère de la Justice.

Les détenus bénéficiaires de cette grâce royale ont été sélectionnés sur la base des critères humains et strictement objectifs, qui prennent en considération leur âge, leur état de santé précaire et la durée de leur détention, ainsi que la bonne conduite, le bon comportement et la discipline dont ils ont fait preuve tout au long de leur incarcération, précise la même source.

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05 Avril, 2020: la barre des 1.000 cas franchie au Maroc

Un nouveau bilan du ministère de la Santé dimanche 5 avril à 21h: le cumul des cas de contamination au coronavirus a franchi la barre des 1.000 cas, celui des décès atteint 70 cas et celui des guérisons 76 cas. C’est ce qu’annonce le site web officiel covidmaroc.ma. Le nombre exact s’élève à 1.021 cas cumulés, soit 31 de plus par rapport au dernier bilan du dimanche 5 avril à 18h.

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05 Avril, 2020: 90 % des chantiers de BTP à l’arrêt

Face à la propagation du coronavirus, les chantiers immobiliers sont à l’arrêt au Maroc à cause du manque de main d’œuvre. Ce secteur tourne au ralenti et les chantiers immobiliers ont été limités à quelques structures organisées qui ont maintenu leurs activités en assurant un service de transport aux employés et en déployant un protocole de préservation des mesures sanitaires sur les chantiers, rapporte le quotidien l’Economiste. Depuis l’annonce de l’urgence sanitaire et du confinement, les effectifs de nombreuses entreprises du secteur ont été réduits de moitié. Comme conséquence, près de 90 % des chantiers sont à l’arrêt.

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