26 – 28 Avril, 2020


Vacances scolaires du 27 Avril au 3 Mai: Cette décision intervient à la lumière du prolongement de la période de confinement au Maroc jusqu’au 20 mai et afin de permettre aux élèves, étudiants et stagiaires de se reposer et de renouveler leur activité mentale et physique. Après près d’un mois et demi d’enseignement à distance, établi dans le royaume dans le cadre de l’état d’urgence, le ministère de l’Éducation nationale, de la Formation professionnelle, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche Scientifique a annoncé les vacances scolaires du 27 avril au 3 mai. Le ministère a par ailleurs mis en relief les efforts considérables déployés par tous les cadres pédagogiques, universitaires, administratifs pour assurer la continuité des cours depuis le 16 mars 2020, l’assiduité démontrée par les élèves, étudiants et stagiaires, ainsi que l’implication des familles dans l’encadrement et le suivi de leurs enfants.

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Des arrestations par milliers pour faire respecter l’état d’urgence: À chaque jour son lot d’arrestations en matière de violation de l’état d’urgence sanitaire décrété pour enrayer la propagation de la pandémie du nouveau coronavirus (COVID-19). Au cours de ces dernières 24 h, plus de 4 261 personnes ont été interpellées et 2 125 ont été placées en garde à vue, tandis que les autres ont été soumises aux procédures d’investigation, de pointage et de vérification d’identité, indique vendredi, la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN).

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Le Maroc rejette l’accusation d’abus de la police dans l’application de l’état d’urgence sanitaire: Georgette Gagnon, directrice des opérations du Haut-Commissariat des Nations Unies, a inclus le Maroc parmi les 15 pays qu’elle a identifiés où les actions de la police pour faire appliquer les mesures de l’état d’urgence sanitaire étaient jugées les plus troublantes. En réplique, la mission diplomatique du Maroc a déclaré qu’elles étaient conformes à «l’état de droit».

Le Maroc a rejeté les allégations de brutalités policières dans le cadre de l’application des interdits visant à empêcher la propagation du coronavirus, après qu’un responsable du bureau du Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l’Homme l’ait inclus dans une liste de pays où les répressions avaient soulevé des inquiétudes, rapporte l’agence Reuters.

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